Samedi 4 octobre 2025 - 00:00
Du 04/10 au 09/11/2025, tous les jours.
La galerie s'ouvre à de nouvelles démarches avec l'exposition de la jeune artiste Coline Irwin. Séries photographiques, tapis paysages, livres d'artistes, vidéos, installations invitent le public à des explorations sensibles sur la thématique du LIEN.
Formée aux Gobelins, Ecole d’art de l’image, Coline Irwin a suivi en parallèle une formation d’éducatrice de jeunes enfants. Coline tisse des liens entre art et petite enfance depuis vingt ans, notamment au sein de l’association Peekaboo, et de lieux d’accueils pour la Petite enfance, qu’elle a contribué à mettre en place selon des pédagogies actives valorisant la créativité et l’autonomie de l’enfant par le jeu. L’artiste italien Bruno Munari (1907-1998) est une de ses influences majeures. Son travail auprès des très jeunes enfants a profondément marqué sa pratique artistique. Comme le font les tout-petits, elle engage le corps tout entier comme outil d’expérience et de découverte du monde. Inlassable chercheuse des perceptions multi-sensorielles - le regard actif, l’écoute sonore, la découverte tactile, l’éveil du goût, autant de chemins qu’elle invite à emprunter pour approfondir notre rapport au réel, affûter nos sens pour vivre des expériences artistiques intenses à partir du quotidien.
La démarche plurielle de l'artiste plasticienne Coline Irwin s’appuie sur une grande liberté et curiosité de pratiques : photographie, collectes, tapis-paysage, livres d’artistes, albums jeunesse, objet-sculpture, vidéos, installations. Coline Irwin crée également des œuvres performatives qui sont des invitations faites au public à vivre une expérience sensible dans l’instant de la rencontre.
Comme le dit l’auteure Florence Gilard : « D’une création l’autre, Coline, donne vie et forme à un «corpus polymorphe», fait de résonnances, d’échos, de prolongements, d’écarts, de transformations... Un work in progress, qui avance par associations d’idées et de gestes, fait de matériaux et formes divers (laine, bois, tissus, photographies, livres, récits, installations, journaux de résidence...). Un art rhizomatique. »
Quelque soit la forme finale, se sont toujours des œuvres ouvertes, qui laissent l’espace nécessaire à celui/celle qui regarde, lit, découvre. Le spectateur est ici nécessairement acteur, avec une grande liberté. Ce qui est à l’œuvre dans l’ensemble de son travail est toujours la question de la rencontre, de la liberté, du lien : l’art du rien, l’art du lien. Elle emmène son public dans des explorations profondes de choses minuscules, loin du spectaculaire, du côté de l’imperceptible, et de l’invisible.
La démarche plurielle de l'artiste plasticienne Coline Irwin s’appuie sur une grande liberté et curiosité de pratiques : photographie, collectes, tapis-paysage, livres d’artistes, albums jeunesse, objet-sculpture, vidéos, installations. Coline Irwin crée également des œuvres performatives qui sont des invitations faites au public à vivre une expérience sensible dans l’instant de la rencontre.
Comme le dit l’auteure Florence Gilard : « D’une création l’autre, Coline, donne vie et forme à un «corpus polymorphe», fait de résonnances, d’échos, de prolongements, d’écarts, de transformations... Un work in progress, qui avance par associations d’idées et de gestes, fait de matériaux et formes divers (laine, bois, tissus, photographies, livres, récits, installations, journaux de résidence...). Un art rhizomatique. »
Quelque soit la forme finale, se sont toujours des œuvres ouvertes, qui laissent l’espace nécessaire à celui/celle qui regarde, lit, découvre. Le spectateur est ici nécessairement acteur, avec une grande liberté. Ce qui est à l’œuvre dans l’ensemble de son travail est toujours la question de la rencontre, de la liberté, du lien : l’art du rien, l’art du lien. Elle emmène son public dans des explorations profondes de choses minuscules, loin du spectaculaire, du côté de l’imperceptible, et de l’invisible.
Commune(s)
Lagorce